La salle pressoir et son troglodyte seront ouverts pour tous les résidents du Château et de ses Suites, pour se retrouver, et se restaurer.

Le matin de savoureux petits déjeuners vous y seront servis de 7h30 à 9h30.
Tarifs :
25 euros TTC par adulte
18 euros TTC pour les moins de 12 ans
Gratuit pour les moins 3 ans 

La journée ces salles seront également un lieu de rencontre avec nos équipes et les autres résidents

La salle pressoir et son troglodyte est lieu exceptionnel combinant une salle majestueuse qui abrite les vestiges d’un pressoir Casse Cou et un Troglodyte qui offrent une fraicheur unique par les chaude journées d’été.

Accessible directement depuis la Salle pressoir, La salle troglodyte a été réaménagée, on y découvre le sous-terrain menant aux Chais ainsi que plusieurs autres pressoir a vis. L’espace de plus de 200m2 avec ses deux lustres en cristal suspendus et ses éclairages font de cet espace minéral, un espace féerique au contrastes surprenants.

 

PLUS D’ HISTOIRE SUR LE PRESSOIR ET LA SALLE TROGLODYTE

La particularité du Pressoir provient de son fonctionnement : la poutre transversale engagée dans la mortaise est actionnée par une corde que l’on enroule autour du treuil, ce Pressoir datant du XVIIIe siècle doit son nom à la dangerosité qu’il représentait pour ses utilisateurs, la corde pouvant se rompre à tout moment ! Le jus du raisin ainsi pressé, était recueilli dans une cuve au niveau, en dessous et acheminé par une goulotte en terre cuite qui serpente le long d’un souterrain de plus de 80 mètres de long et se déversait dans une immense cuve que l’on peut voir sous la terrasse du Château. Le jus de raisin était conservé dans d’immense foudre en chêne. L’un de ces foudres est toujours visible en place dans l’unes des 4 immenses caves qui se situent sous l’actuelle terrasse du château. Ces immenses caves qui étaient jadis destinées au stockage des tonneaux de vins avant leur acheminement vers la Loire sont autant de témoins de l’intense activité vinicole qui eu lieu au Château de Candes-Saint-Martin alors qu’il était la propriété des évêques de Tours.